Je reviendrai plus tôt, je reviendrai plus vite, je reviendrai avant et après. Je reviens, je rentre, j’arrive. Je ne cours pas, je ne fuis pas, je me protège des esprits négatifs, envieux, violents, non aimants, haineux, malades. La force de la douleur de voir ses proches passer de l’autre côté ne doit pas nous enlever notre force de vivre, notre force d’aimer, notre force de survivre. Derrière la lune, pleine, grosse, ronde brille le chagrin, la peine et les larmes sourient derrière un grand éclat de rire. Enfin, il fait beau.
J’ai lu « Un foyer » de Julie Lamiré